Certains y verront un nouveau visage au rap, tuméfié par la réalité des rues de Kinshasa, comme un opéra noir aux relents de sorcellerie. D’autres penseront à un tournant dans la musique électronique, incarnée comme jamais auparavant : suante et poussiéreuse, radicale et vindicative.
Au final, personne n’aura vraiment raison et personne n’aura vraiment tort. Mais tout le monde dansera.